Choeur en classe2! 13 Couplets du sabre

Cher jeune public des écoles et des collèges, chers auditeurs, bonjour et bienvenue pour partager le plaisir de chanter.
Pour cette 13e Ă©mission, Aujourd’hui, vous allez chanter un air extrait de La Grande-duchesse de GĂ©rolstein, un opĂ©ra bouffe en trois actes de Jacques Offenbach, sur un livret de ses deux fidèles librettistes Henri Meilhac et Ludovic HalĂ©vy, crĂ©Ă© le 12 avril 1867 au théâtre des VariĂ©tĂ©s Ă  Paris, durant l’Exposition universelle.
Tous les souverains europĂ©ens vinrent applaudir cette Grande Duchesse qui avait la voix ensorcelante de Hortense Schneider. L’œuvre demeure un des plus grands succès d’Offenbach, dont le cĂ©lèbre photographe Nadar disait qu’il Ă©tait « nĂ© du croisement d’un coq et d’une sauterelle ». La Grande Duchesse prĂ©sente toutes les caractĂ©ristiques de « l’offenbachiade », drĂ´le, pĂ©tillante, sautillante et avec ces airs que l’on fredonne sans pouvoir s’arrĂŞter!
L’histoire se passe dans une principautĂ© imaginaire, le Grand-DuchĂ© de Gerolstein, oĂą règne la Grande Duchesse qui tombe amoureuse du beau soldat, Fritz, qu’elle nomme d’un seul coup “gĂ©nĂ©ral en chef”!. Sans y rien comprendre, il provoque la colère du ridicule gĂ©nĂ©ral Boum, du vaniteux baron Puck et de prince Paul. Elle finit par se rĂ©soudre Ă  Ă©pouser ce dernier, tandis que Fritz, retrouve sa condition initiale qu’il partagera avec Wanda, sa jeune amie devenue son Ă©pouse. Dans les couplets du sabre Ă  la fin du Premier Acte, Fritz, devenu GĂ©nĂ©ral-en-chef sur un caprice de la souveraine, se voit remettre le sabre du père de celle-ci:
Voici le sabre de mon père,
Tu vas le mettre à ton côté;
Ton bras est fort, ton âme est fière,
Ce glaive sera bien porté!
Allez, en route pour cette page d’opĂ©rette!

Émission
Piano voix
Piano seul