Dans le cadre de la semaine olympique et paralympique, les élèves de cycle 3 du secteur de Saint-Mamet ont participé à un regroupement permettant de travailler différentes valeurs liées à l’olympisme et de découvrir un atelier en lien avec le handicap.
Ultimate
Les élèves ont vécu 4 situations d’apprentissage leur proposant de mieux lancer le frisbee. Lors des situations réalisées en équipe (jeu de l’horloge, le relais frisbee), celles-ci étaient non mixtes (équipes constituées uniquement de garçons ou uniquement de filles) pour montrer qu’il n’y avait pas de corrélation entre équipe constituée de garçon et victoire évidente sur le jeu.
Les élèves ont pu prendre conscience en vivant cette activité que ce stéréotype était erroné.
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Activités avec masques occultants
Dans un premier temps, les élèves avec un masque occultant sur les yeux ont effectué des parcours en zigzaguant entre des coupelles accompagnés par des camarades en leur donnant la main. Puis l’accompagnement s’est fait uniquement avec la voix (notion de coopération omniprésente dans cette situation là). La troisième étape proposait de conduire un ballon avec grelot (ballon présent dans les malles 30 minutes d’activités physiques quotidiennes) toujours grâce aux indications orales de l’accompagnateur.
La dernière situation permettait aux élèves de vivre une activité présente aux jeux paralympiques de Paris 2024 : le goalball. En amont dans les classes les élèves avaient visionné une vidéo présentant ce sport :
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Course et tir laser
Sur cet atelier, les élèves ont pu s’exercer au tir au pistolet laser et à la carabine laser. Ils ont ensuite participé à une épreuve alternant phase de course et phase de tir (à maîtriser en étant essoufflé) sur le principe de la dernière épreuve du pentathlon discipline olympique présente à Paris l’an dernier.
En amont dans les classes, les élèves avaient regardé la vidéo d’Elodie Clouvel, médaillée olympique, effectuant sa course de laser run dans les jardins du château de Versailles :
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Orientation
Cette activité servait de base à un travail plus approfondi sur les stéréotypes et l’égalité filles/garçons. Une première étape a permis de définir collectivement ce qu’était un stéréotype en s’appuyant sur les avis des élèves par rapport à des phrases telles que :
– le rugby c’est plus pour les garçons que pour les filles
– ou encore, un garçon qui aime la danse c’est quand même bizarre
Le débat qui s’est instauré avec les différents avis des élèves a permis de créer une définition commune d’un stéréotype.
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La deuxième étape consistait en une course d’orientation en étoile (aller-retour entre le départ et chaque balise) qui permettait aux élèves de découvrir des images ou des phrases et de s’interroger sur cette notion de stéréotype.
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De retour en classe, les enseignants pouvaient approfondir cette thématique en reprenant les échanges sur ces images et ces phrases et en proposer également de nouvelles à leurs élèves.
