Héloïse V. (Première), “Sans titre, Une idée Lumineuse”, 2021, dessin sur rhodoïd, 21 x 29,7 cm, photographie.
Héloïse V. (Première), “Sans titre, Une idée Lumineuse”, 2021, dessin sur rhodoïd, 21 x 29,7 cm, photographie.
Maud M. (Première), “Sans titre”, cyanotype, dimensions non communiquées
Maelle J. (première), “Sans titre ou portrait de Lumière”, avril 2021, photographie numérique
Paola, Elisa, Noé, Evane, Rose, “Sans titre, l’Envers du décor”, 2020-2021, photographie argentique, 13 x 18 cm
Paola, Elisa, Noé, Evane, Rose, “Sans titre, l’Envers du décor”, 2020-2021, photographie argentique, 13 x 18 cm
Clara A., “Sans titre”, épreuve argentique, 11,5 x 17 cm
Clara A. (première), “Stair”, mars 2021, sténopé (photographie argentique sans appareil photo), 6 x 7 cm chauque tirage
Fanette S. (première), “Sans titre”, avril 2021, photographie numérique
Rosalie C. et Marine R., “L’ennui…”, photographie, guirlande de papier révélée par la lumière.
L’ennui est souvent à la source de nombreuses créations que seuls le regard et le geste de l’artiste parviennent à extraire de la banalité.
Rosalie C. et Marine R., “L’ennui…”, photographie, guirlande de papier révélée par la lumière.
L’ennui est souvent à la source de nombreuses créations que seuls le regard et le geste de l’artiste parviennent à extraire de la banalité.
Rosalie C. et Marine R., “L’ennui…”, photographie, guirlande de papier révélée par la lumière.
L’ennui est souvent à la source de nombreuses créations que seuls le regard et le geste de l’artiste parviennent à extraire de la banalité.
Rosalie C. et Marine R., “L’ennui…”, photographie, guirlande de papier révélée par la lumière.
L’ennui est souvent à la source de nombreuses créations que seuls le regard et le geste de l’artiste parviennent à extraire de la banalité.
Clarisse V. (seconde), “Masque de lumière”, avril 2021, maquillage, lumière, photographie.
Clarisse V. (seconde), “Masque de lumière”, avril 2021, maquillage, lumière, photographie.
En image, Manon A (terminale), “Sans titre, lumière”, photographie numérique, mars 2021
Flavie G. (Terminale), “Sans titre”, mars 2021, dessin numérique (tablette graphique + Krita)
Kévin G. (terminale), “Forest”, avril 2021, dessin numérique (tablette graphique + Krita)
Kévin G. (terminale), “Fire ball, mains de lumière”, avril 2021, dessin numérique (tablette graphique + Krita)
Camille P. (terminale), “Projection”, février 2021, photographie numérique
Camille P. (terminale), “Arbre 1”, février 2021, Sténopé (photographie argentique)
Camille P. (terminale), “Arbre 2”, février 2021, Sténopé (photographie argentique)
Camille P. (Terminale), Sans titre, Photographie numérique, février 2021
Camille P. (Terminale), Sans titre, Photographie numérique, février 2021
Camille P. (Terminale), Sans titre, Photographie numérique, février 2021
Camille P. (Terminale), Sans titre, Photographie numérique, février 2021
Camille P. (Terminale), Sans titre, Photographie numérique, février 2021
Nelly V. (première), “Sans titre, dessins d’occasion”, crayon et ombre sur papier, février 2021
Nelly V. (première), “Sans titre, dessins d’occasion”, crayon et ombre sur papier, février 2021
Nelly V. (première), “Sans titre, dessins d’occasion”, crayon et ombre sur papier, février 2021
Maxence, Léna Clara, Romane, Sarah Matheo (Première), “Light Painting”, mars 2021
Clarisse V. (Seconde), “LumièreS du quotidien”, 2021
(Pour réaliser ces photos sur la lumière, je me suis baladée dans ma maison pour voir ce que la lumière embellissait. Ces photos ont été réalisées une semaine de travail en distanciel.)
Clarisse V. (Seconde), “LumièreS du quotidien”, 2021
(Pour réaliser ces photos sur la lumière, je me suis baladée dans ma maison pour voir ce que la lumière embellissait. Ces photos ont été réalisées une semaine de travail en distanciel.)
Lukas B. (seconde), “Un masque de lumière” ou “Un visage ? C’est quoi ?”, mars 2021, photomontage photographique.
Meylie D. (Première), “Lumen”, avril 2021, pastel sec sur papier
Meylie D. (Première), “Lumen”, avril 2021, pastel sec sur papier
Louane J. (seconde), “Une sombre lumière”, photographie numérique
Sarah C. “Je suis une Lumière”, avril 2021, photographie.
Sarah C. “Je suis une Lumière”, avril 2021, photographie.
Sarah C. “Je suis une Lumière”, avril 2021, photographie.
Sarah C. “Je suis une Lumière”, avril 2021, photographie.
Mathilde, Emma, Antonia, Candice, Fanette, Sarah, Yriane (Première), “Light Painting, dessins dans le vide”, mars 2021
Mathilde, Emma, Antonia, Candice, Fanette, Sarah, Yriane (Première), “Light Painting, dessins dans le vide”, mars 2021
Marie M. (Seconde), “Alien”, 2021
Clarisse V. (Seconde), “LumièreS du quotidien”, 2021
(Pour réaliser ces photos sur la lumière, je me suis baladée dans ma maison pour voir ce que la lumière embellissait. Ces photos ont été réalisées une semaine de travail en distanciel.)
Maelle, Meylie, Loanne, Heloise (Première), “Light Painting”, mars 2021
« Distance et gestes barrières » “ce vocabulaire est complètement intégré par nous-mêmes : il relève de notre quotidien. Il est ancré dans nos vies jusque dans les petits papiers auxquels on ne prête pas forcément attention.” Léa S. Elève de Terminale
Léa, danseuse, ne peut plus danser pour l’instant. Alors elle a réalisé en #ArtsPlastiques une “#chorégraphie” pour ticket de caisse.
“La création de la vidéo part d’un ressenti général -où peut-être personnel- à propos de la situation que nous vivons depuis plus d’un an.” Léa.
Ce projet m’est venu plutôt spontanément un ticket de caisse trainait sur mon bureau et nous devions travailler sur la lumière…
L’atmosphère recherchée est celle de l’inconfort, de l’étrange, un monde parallèle ou une réalité dissociée. C’est d’ailleurs pourquoi j’ai utilisé les effets de miroirs (cf 00-05s ; 00:25-00:28s). La vidéo est structurée tel que :
le début (00:00 ; 00:08) illustre la peur du caractère inconnu de la situation. L’angoisse de l’isolement : le ticket de caisse plié peut s’apparenter au pan d’une montagne inhabitée. Le premier clip tourne pour illustrer cette spirale dans laquelle nous sommes pris. De 00:05 à 00:08, l’effet de mouvement en ondulations traduit cette sensation de malaise, quelque chose de présent mais que l’on ne saisit pas complètement.
Le long clip du milieu (00:29 ; 00:25) représente l’attente. Le fait que seule l’ombre évolue permet au spectateur de mesurer le temps qui passe, le jour qui défile. La musique était primordiale car elle devait retranscrire cette sensation étrange que le temps s’étire. J’ai choisi uniquement deux clips pour dire que malgré le temps qui passe : on reste toujours dans cette situation de crise. Les effets visuels très brefs illustrent la manière “ridicule” que l’on a de présenter sous un nouveau jour une problématique qui au final, nous maîtrise. Par ailleurs la forme du ticket peut faire écho aux courbes d’évolution scientifiques. Les effets de cache/cadre de 00:15 ; 00:16 appuient l’idée que même lorsque se trouve dans une phase positive ou l’inverse, le problème reste inchangé tout comme l’image.
Enfin, à 00:25 la rupture a pour but de traduire ce sentiment “de trop”. J’ai fait le choix de réutiliser les mêmes procédés qu’au début pour encore souligner ce sentiment de boucle infernale. Enfin, de 00:29 à la fin il y a cet effet d’emboîtements pour traduire ce sentiment que les jours se confondent les uns dans les autres à l’infini. Ajouté à ça, l’effet d’ondulations qui progresse en crescendo apporte un effet de réalité en distorsion. On ne voit pas la fin, l’arrêt de cet effet car on ne le connaît pas.
Si le spectateur est attentif il pourra noter la présence des inscriptions « Distance et les gestes barrières » sur le ticket. Ceci a pour but de montrer que ce vocabulaire, lié à une actualité pandémique, est complètement intégré par nous-mêmes : cela relève de notre quotidien. Il est tant ancré dans nos vies jusque dans des petits papiers auxquels on ne prête pas forcément attention.